Mis à jour le 18/02/2022

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@ Le Monde Fin de vie : la sédation profonde « peine à se mettre en place »

 il y a une potentielle résistance médicale à ce droit », a fait valoir mercredi 28 novembre 2018 Valérie Mesnage, neurologue à l’hôpital Saint-Antoine AP-HP et membre du groupe du travail. A l’origine de cette résistance, des « paradoxes » et des freins liés à l’ambiguïté originelle de la loi.

Retrouver l'intégralité de l'article du Monde du 30/11/2018 en cliquant sur le lien.